☠ Zone 52 ☠ RP ON / Inscriptions et nouveaux perso MP

Gothikadoll a écrit:

c'est trop tôt encore pour lui XD faut le comprendre avec Hank comme partenaire la veille

Ludvig

- Est-ce une façon détournée de me dire que tu ne le sais pas plus que moi ?

Tournant légèrement la tête pour caler son font contre le cou du Daeva, Ludvig eut un sourire amusé

- J'ai eu la possibilité de manipuler ton corps, pas ton esprit. Ton cerveau je l'ai vu, ça n'est pas pour autant que je sais comment tu le fais fonctionner.

Finir sur un verre de Poitin cul-sec n'était sans doute pas la meilleure des idées, surtout qu'il était déjà pas loin de cinq heures du matin et que ça faisait donc une journée entière qu'il était réveillé. Ce documentaire tout juste bon à occuper les insomniaques avait peu à peu raison de l'énergie du scientartiste, et la chaleur du corps de Vlad n'aidait pas vraiment. Pour éviter de sombrer tout de suite, chose que le Daeva n'accepterait sans doute pas, Ludvig se dégagea de son étreinte pour s'allonger derrière lui sur les draps froids. Ce contact presque glacé eut l'effet escompté, le réveiller un peu, mais pour autant Ludvig ne voulait pas tant garder les yeux ouverts, ni Vlad loin de lui curieusement, et il passa son bras autour de la taille du Daeva pour le lui faire comprendre.

Vlamidir.
Le daeva grogna. Admettre son ignorance n'était pas une chose qu'il aimait forcément faire. Ne pas savoir était horriblement frustrant, pour n'importe quel être humain, mais encore plus lorsque le sujet à discussion s'en retrouvait être vous.

-Et pourtant, vous m'avez précisément choisi pour Utopia pour la manière dont je le faisais fonctionner. Vous saviez que ce n'était pas n'importe qui qui aurait pu survivre à toutes ces séries d'expériences sans perdre complètement la tête ou se suicider au bout d'une semaine... Je devais être spécial, je devais pouvoir tenir le coup. Ce n'est pas pour rien que vous m'avez sélectionné alors que j'étais militaire, non? Tout le monde sait que les militaires ont un sang-froid hors-normes et un instinct de survie à tout casser.

Vlamidir parlait, parlait et parlait sans se rendre compte qu'il s'éloignait de ce qu'il voulait véritablement dire.

-Mais je ne suis plus l'homme que vous avez sélectionné voilà tout ce temps..., murmura-t-il, je ne suis qu'une pâle copie de celui-là. Tu devrais savoir mieux que moi ce qui se trame dans ma tête puisque c'est au fil des expériences que tu as menées que je suis devenu quelqu'un d'autre...

Il aurait comprit le Vlamidir du passé, mais celui qu'il était devenu demeurait une énigme toute entière. Même s'il l'avait comprit, son orgueil l'aurait poussé à ne pas dévoiler les secrets qu'il y aurait découvert. Il laissa Ludvig lui échapper pour finir par venir l'enlacer par derrière. Vlamidir se laissa aller à cette étreinte et appuya sa tête contre l'épaule - voire le torse - du scientifique.

Silfy a écrit:

Félix est un gros flemmard et il assume! xD

Félix

Nuit d'une incroyable efficacité pour le biologiste, qui bavait littéralement sur le corps du militaire, émettant par moment des grognements presque semblables à des ronronnements. mais le réveil du militaire le réveilla en sursaut, son épaule le lançant alors malgré son attelle.

- Sérieux? Il est quelle heure? Prend un jour de congé et on fait la grasse matinée... Je veux pas me lever...

Laissant tout le poids de son corps s'appuyait sur celui du militaire, il enroula ses jambes aux siennes pour le bloquer et l’empêcher de partir. Mais avec sa force de calamar, même au repos, il n'allait pas faire long feu face à lui.

Hank Jefferson.
Il n'y avait pas le temps pour rêvasser. L'horloge biologique militaire de Jefferson l'avait fait se lever à la même heure que tous les jours sans exception pour la présence d'un séduisant jeune homme dans son lit. Le boulot étant ce qu'il était, Hank ne pouvait pas se prendre le loisir de se reposer le matin, mais peut-être que ce soir... il pourrait profiter et honorer le corps de Félix comme il le méritait.

-Il est 5h. J'ai déjà pris un jour de congé, mais je ne peux pas m'en permettre deux. Rendors-toi, Félix, il est certainement trop tôt pour toi et ils comprendront si tu prend un jour de congé avec tout ce qui c'est passé dans les derniers jours...

Souriant légèrement, il se dégagea des jambes de son amant tout en lui tapotant l'épaule. Il remarqua alors que le biologiste lui avait bavé dessus...

-Eh bien... quand j'imaginais ce que se serait que de dormir avec toi, je voyais ça un peu plus glamour...

[Je réussis toujours a trouver du temps pour vous, mes poulettes! ]

Hank Jefferson.
Pour la première fois depuis, au moins, sept ans, il partageait quelque chose avec quelqu'un, alors pourquoi aurai-t-il eu envie de se coucher, de manger et de partir au boulot aussi vite...?

-Avec le nombre d'armes et de protections que je fois traîner sur moi, si tu arrives à me faire bander dans mon uniforme, se sera un miracle.
Jefferson ne blaguait qu'à peine. Il était tout un attirail sur lui lorsqu'il se mettait en uniforme avec des protections un peu partout qui rendaient le tout bien lourd et serré.

Dans la salle-de-bain, faisant couler l'eau pour vérifier sa température, il ne se retourna pas lorsque Félix le rejoignit, mais sourit.

-Tu n'y as pas prêté attention la dernière fois?
Comme l'eau était ni trop chaude ni trop froide, il entra dans la douche, invitant d'un geste de la main Félix à le rejoindre.

Vlamidir.
Le daeva grimaça. Il avait eu un petit moment de faiblesse du style guimauve mais le ne fallait pas exagérer non plus! Cela ne définissait pas son état normal.

Il grogna, le visage enfouit dans le torse de Ludvig.
-Hum, non! Laisse-moi faire la grasse matinée... En fait, l'idéal, se serait que tu ne partes pas, en fait. Ou alors, très tard!

Il ferma les yeux, pressant son corps contre celui du scientifique. Il échappa une sorte de ronronnement en sentant la main du scientifique dans ses cheveux courts, appréciant le petit massage.

Tes bannières sont funs Pensi' ^^


Félix

Jefferson le faisait bien rire quand même, il ne s'attendait pas à ce que quelques suçons le perturbent.

- Tes hommes pensent tous que t'es hétéro, même moi j'en étais persuadé avant que tu ne m'allumes. Alors même si ça ferait en parler plus d'un, je suis certain que ça ne serait pas si mauvais que ça pour ta réputation, au moins penserait-il que tu n'es pas qu'un robot, mais que tu sais aussi emballer une fille. Et si jamais t'en as besoin, je te laisse même utiliser Hélis comme bouc émissaire si t'as besoin d'un nom féminin pour te sortir de là.

Riant, il fit exprès de se glisser sur la pointe des pieds pour le marquer un peu plus haut au niveau du cou. Jefferson était tout de même plus grand que lui, pas non plus de plusieurs mètres, mais tout de même, il y avait une différence visible. Alors que le capitaine expliquait qu'il ne pouvait pas non plus trop trainer, Félix appuya sur le flacon de gel douche pour en laisser tomber dans sa main et laissa son bras valide nettoyer les épaules et le dos du capitaine avant de laisser sa main partir vers le torse du militaire. Ses doigts, mousseux de savon, se laissaient doucement glisser vers chaque abdominaux avant de descendre peu à peu vers le nombril puis s’arrêtant juste au niveau de ses parties intimes, frôlant doucement juste en passant vers le haut des cuisses, évitant de toucher son membre en se léchant les lèvres, attendant la réaction du capitaine.

j'aime beaucoup aussi ^^

Ludvig

S'il avait entendu les trois petits mots que Vlad avait laissé sortir avant de faire semblant de dormir, Ludvig serait resté comme deux ronds de flanc. Mais là, entre le sommeil et l'alcool, c'était déjà un miracle qu'il ne ronfle pas. Même ses rêves s'étaient rendus compte que ça n'était pas la peine de faire trop sophistiqué, ou même de se manifester, et c'est profondément endormi que le scientartiste resserra son emprise sur le Daeva qui était allongé dans ses bras. Dès le lendemain, ou plutôt d'ici quelques heures, Ludvig devra retourner voir les autres cobayes qui étaient désormais sous sa responsabilité, soit 82 et 412, mais aussi la poupée qui devait récupérer de son avortement... Autant dire qu'il n'était pas pressé.

C'est vrai que c'est chouette

Taryn
Étant parti un peu avant Anaka j'avais eu le temps de me glisser dans la foule arrivant presque en première ligne. J'allais me servir mais très vite comme tout les autres je me stoppais, je ne craignais pas Anaka et jamais elle m'aurait empêcher de me servir vu que je voulais ramener autant pour elle que pour notre groupe mais celui qui s'approchait je ne le connaissais pas, et sans la réaction des autres j'aurais très bien pu deviné se qu'il ne fallait pas l'approcher, tout en lui dégageait la crainte mais surtout je comptais pas me frotter à sa dentition de requins, restant à ma place j'attendais mon tour en essayant de ne pas attiré l'attention, on sait jamais si il désire de la viande fraîche.
Mon regard alla un instant à Anaka, puis à Julia et Yumi mais très vite je repris ma position de base afin de surveiller assez discrètement j'espèrai la menace imminente qu'était l'homme à dents de requins.

[Merci, c'est mon Citron qui me les a faites! ]



"Perturber" n'était peut-être pas le bon mot, mais Hank avait en quelques sortes la phobie d'avoir à expliquer à ses hommes - à cause d'un d'eux qui se montrerait trop curieux - la présence de petites marques violacées juste au-dessus de son col d'uniforme. Les soldats de la base l'imaginaient tous à leur façon, mais l'image de lui qui revenait le plus souvent était sans doute le capitaine sanguinaire sans coeur, sans pitié et avec un sens aiguë du jugement et de la justice, alors ils seraient sur le cul s'ils apprenaient de quoi avait l'air le militaire dans son intimité et sa vie de couple.

-C'est ridicule de penser ça. Les gays ne sont pas tous efféminés et je n'ai laissé filtré aucun indices qui pourraient laisser deviner que j'aime les femmes ou les hommes.
Enfin, il le pensait bien. Il surveillait toujours ses arrières et scrupuleusement ce qu'il disait, filtrant ses mots.
-Rien que l'idée d'avoir des ragots sur moi et Hélis me donne des frissons. Je préfère encore qu'ils me sachent attiré par les hommes qu'ils ne harcèlent Hélis pour avoir des détails...
Bonté Divine, rien que d'y penser, il en avait des frissons!
-De toute manière, il faudrait un homme sacrément bien dégourdis pour venir me poser de telles questions! Et alors, je lui jetterais un tel regard qu'il abandonnerait!
Un soldat qui, même pour un pari, oserait venir voir Jefferson pour lui demander l'origine de ses absences ou d'un suçon... alors là, Hank n'était même pas sûr que ce soldat soit né!

Alors qu'il allait pousser un peu Félix sur le côté pour sortir de la douche, son adorable amant posa ses pattes savonneuses sur lui. Le capitaine s'arrêta net et échappa une sorte de grognement de bien aisance. Il comprenait maintenant pourquoi Félix aimait tant ses massages! Les doigts du jeune homme sur ses muscles qui défaisaient ses noeuds en plus de lui laver le dos étaient une sensation tout simplement merveilleuse. Puis ses mêmes doigts qui s'aventuraient à l'intérieur de ses cuisses, le titillaient...

-Eh bien, je crois que mes responsabilités peuvent encore attendre un peu, finit par céder Jefferson en se détendant aux bons soins de Félix.
Quand même, il ne faudra pas que son chaton lui fasse subir le même traitement tous les matins où le pauvre capitaine finirait par ne plus avoir envie de quitter la maison!



Ludvig n'eut aucune réaction qui laissait penser qu'il l'avait entendu même quelques dix minutes après la confession de Vlamidir, alors le daeva se laissa aller à ouvrir à nouveau les yeux, soulagé de savoir son secret bien gardé. Peut-être que, un jour, il aurait la chance et le courage de redire ses petits mots quand Ludvig ne dormirait pas, mais pour le moment, il ne pouvait juste pas...

Sentant les bras du scientifique se refermer sur lui, Vlad décida qu'il pouvait bien retourner au sommeil jusqu'à l'aube, au moins. Il ne manquerait pas de se réveiller lorsque l'autre homme se réveillerait, de toute façon, au vu de comment leur corps était emmêlé.

pensina a écrit:

Un soldat qui, même pour un pari, oserait venir voir Jefferson pour lui demander l'origine de ses absences ou d'un suçon... alors là, Hank n'était même pas sûr que ce soldat soit né!

Tu sais que rien que pour cette phrase j'ai presque envie de me faire un soldat ? XD


Anaka

Azador..... en soi, il n'était pas un danger, mais à la moindre goutte de sang ça pouvait parfaitement dégénérer. Voyant Taryn sur la défensive, Anaka la poussa doucement en avant pour l'encourager à aller se servir et fit les quelques pas qui la séparaient du sac de nourriture. Azador ne tarda pas pour sa part, récupérant une part de viande conséquente avant de poser la main sur un morceau où Anaka avait la sienne. La reptilienne fut surprise tant du geste que du goût qui l'accompagnait quand son alter ego masculin recula sa main pour se lever en vitesse avec son butin. Mais elle n'avait pas vraiment le temps d'y réfléchir, avec Azador en moins, les bagarres allaient rapidement reprendre. Anaka se releva donc avec son stock de nourriture entre les pattes et chercha à voir où en était Taryn pour qu'elles puissent partir en vitesse de cette mêlée.

Ah oui, je viens de voir le copyrith ^^
Fais toi plaisir Gothi XD


Félix

Le scientifique ne put s’empêcher de sourire moqueusement en voyant le capitaine se retenir de partir pour aller travailler.

- Finalement, tu vois que j'arrive à te retenir, et encore, je n'ai qu'une main valide, qu'est ce que ce sera quand j'aurais les deux à disposition.

Riant, il se hâta quand même de nettoyer le militaire, évitant d'agir comme il aurait été tenté de le faire en jouant avec sa virilité. Jefferson était dans une position délicate vis à vis des grands Pontes.

- On terminera ce qu'on a commencé ce soir, je préfère que tu sois content de revenir ce soir me retrouver plutôt que sur les dents parce que je t'ai mis en retard dès le petit matin. Mais je me demande juste si tu vas revenir profiter un peu de moi ce midi en fait.

Se tournant pour faire face à Jefferson, il se colla à lui, passant sa main dans la chevelure mouillée du capitaine avant de l'embrasser. Ca ne lui ressemblait tellement pas d'agir ainsi, mais depuis le départ, avec Jefferson, il ne se reconnaissait plus.