☠ Zone 52 ☠ RP ON / Inscriptions et nouveaux perso MP

Admin Messages : 699 Date d'inscription : 07/02/2014 Age : 32

Ludvig

Il avait de l'humour mine de rien. Mais l'entendre avouer qu'il semblait avoir apprécier de se réveiller contre lui n'aidait pas Ludvig à se lever. Le scientartiste se contenta donc de s'étirer avant de se tourner pour coller son dos au torse de Vlad, essayant de calculer quelle heure il pouvait bien être si son bippeur s'excitait déjà comme un micro-onde qu'on aurait oublié après avoir fait chauffer sa bouffe. Ludvig tendit quand même le bras pour voir ce qu'on lui voulait, et jeta assez rapidement l'appareil en direction de son bureau en constatant qu'il s'agissait de 82 et de 412. Combien de fois fallait-il le répéter ? Il ne voulait pas de l'un, et l'autre avait été un tel échec que le scientartiste soupçonnait les sections de médecine et de clonage de lui donner de faux espoirs pour pouvoir continuer leurs expériences.

Julia

La grosse erreur de Gobbles fut de croire que la découpe était terminée au moment où les cris avaient cessé. Au final, le bras finit d'être découpé dans un silence relatif, entre les hauts le coeur du militaire et la respiration entre le halètement et le sanglot du daeva

- Bien.... Je te garde ça de côté quand même histoire de faire une auto-greffe si ça tourne pas comme prévu. Ça serait dommage qu'on te perde, t'es plutôt un bon cobaye.

La blouse plus rouge que blanche et le rouge à lèvre refait au naturel après qu'elle se soit passer le dos de la main sur le bas du visage, Julia banda le moignon du bras coupé avant de le ranger dans un congélateur et de récupérer les cellules qui l'intéressaient et le matériel pour les greffer. Elle se tira ensuite une chaise et nettoya le moignon fraichement coupé du daeva avant de le cautériser sans prêter attention à son cobaye qui avait du se claquer les cordes vocales pour ne plus crier comme un goret. Une plaie cicatrisée ne lui aurait rien apporté de plus donc bon, l'autre aussi aurait crié un moment, mais quelque chose disait à la scientifique qu'il y aurait du grabuge quand il rentrerait à la fosse. Traficotant méthodiquement la plaie du daeva, Julia faisait en sorte que les cellules dédifférenciées se placent où elle voulait sur cette chair fraîchement déchirée. Une fois les greffes terminées, la scientifique pansa ce quart de bras et détacha l'amputé qui ne mit pas longtemps à se tenir le bras pour descendre de cette table et reculer loin de Julia qui ne lui prêtait déjà plus vraiment attention.

Anaka

Félix avait l'air tout aussi remonté que Julia ce matin, qu'est-ce qui s'était passé la veille au soir pour qu'ils soient tous deux d'une humeur massacrante ?

- Ils se sont mis à dos l'un l'autre ou quoi ?

Julia avait un sacré caractère, mais de souvenir les seuls fois où Félix et elle se cherchaient c'était surtout pour se démonter l'un l'autre, ça n'était jamais allé à ce point de rage sourde qui laissait un arrière goût de poudre dans la bouche d'Anaka. Ou du moins elle ne se souvenait pas de les avoir vu dans un état pareil tous les deux au même moment. Et elle qui s'était enfin faite à l'idée qu'elle allait laisser à Félix sa virginité si vraiment Julia ne lui laissait pas le choix et qu'il acceptait, la reptilienne commençait à douter un peu, même si elle aurait les armes pour se défendre.

Habitué Messages : 315 Date d'inscription : 06/07/2015

Taryn
J'avais souhaité bon courage à Yumi aussi, surtout que Félix semblait lui aussi de mauvaise humeur, c'est dingue quand même, qu'elle mouche les avaient piqué ? J'écoutais Anaka se posé elle aussi des questions se qui ne me rassurai pas vraiment, c'était plutôt mauvais signe si même elle présente depuis plus longtemps que nous, bien plus même, ce demandais se qu'il se passait. Soupirant j'espérai que tout irait bien pour Yumi, enfin si elle se tenait tranquille il n'y avait pas de raison que ça dégénère.
Enfin je devais aussi me préoccupé de moi et pour l'instant la seule question que j'avais c'était...

Julia sera calmé tu penses en revenant ? ou tu penses que je dois m'attendre à moi se qu'elle passe ses nerfs sur moi même si je reste tranquille...

Julia devait juste changé mes bandages mais si elle était vraiment d'humeur à se déchainé, elle pourrait avoir envie de faire des tests ou des examens tout sauf sympathique histoire de me faire "chanté" comme elle dit et semble apprécier surtout

Habitué Messages : 441 Date d'inscription : 26/04/2015

Félix

La question de 525 le fit rire sur le coup, au moins, elle avait eu le mérite de le dérider deux secondes.

- Crois moi petit oiseau, tu le sauras bien assez vite. Et ça gâcherait la surprise.

Elle était obéissante, très obéissante. Ca ne le dérangeait pas en fait, mais ça aurait sans doute excédé Julia, enfin il la voyait bien comme ça. Une fois l’ascenseur arrivée à l’étage, Félix sortit pour s’engouffrer dans les couloirs, jusqu’à arriver près d’un soldat rendant ses tripes. Sérieusement, c’était ça l’élite des militaires ? Ca promettait. Si Jefferson voyait ça… Mais pourquoi repensait-il d’un coup à ce type ? Félix fronça les sourcils, s’énervant contre lui-même, avant de finalement entrer dans la salle d’examen numéro 4.

- Allez entre. Et assied toi sur ce siège. T’as du entendre parler des méthodes de Julia, perso, je tranche moins dans le vif. Ca n’empêchera pas que tu souffriras. Mais contrairement à ma collègue, j’évite de faire souffrir mes cobayes inutilement.

S’approchant de la Harpie qui piaillait un peu, Félix sourit en le voyant déployer ses ailes. Il finit par se rendre dans son frigo, sortant ses cultures et des seringues, puis un morceau de viande qu’il lança au volatile. Posant le plateau près de Yumi, il la sangla, mieux valait qu’elle ne bouge pas, surtout vu ce qu’elle disait sur les piqures lors des examens préliminaires.

- Autant que tu t’y habitues vite, tu vas souvent avoir affaire à ces seringues.

Hélis

Hélis eut une pensée au personnel qui nettoiera ce bloc opératoire, c’était vraiment tiré d’un film d’horreur. Elle fut impressionnée aussi par la résistance du daeva, il n’était pas tombé dans les pommes, c’était un véritable exploit pour le coup.

- Et bien, qui aurait cru qu’il serait encore capable de tenir debout après ça. Finalement, vous n’avez pas perdu au change Dr Lambert.

L’autre Daeva était bien plus faible, c’était flagrant. Par contre, Hélis remercia le ciel de ne plus être assignée à la fosse pour aujourd’hui. Une fois de retour dans cet enfer, ça risquait fort de dégénérer. Après tout, si l’autre avait accepté, ce daeva ci n’aurait pas connu pareil souffrance. S’approchant du daeva, Hélis n’aimait pas trop qu’il reste trop près du mur, près des bocaux ou autres instruments chirurgicaux. Sortant son flingue, elle l’obligea à revenir près de la table, au moins là, il ne pourrait rien tenter de son bras valide.

Habitué Messages : 308 Date d'inscription : 19/08/2015

Vlamidir.
Ouvrant un peu ses bras pour permettre au scientifique de bouger, mais lorsque ce dernier se recolla contre lui, il referma lesdits bras sur Ludvig, joignant ses mains sur son torse comme pour l'emprisonner.

-C'était quoi? demanda-t-il en voyant Ludvig jeter son bipper sur son bureau, arquant un sourcil d'intérêt.

Sans accordé plus d'attention aux détails, il serra davantage Ludvig contre lui et emmêla les jambes aux siennes tout en grognant légèrement.

-Si tu vas travailler, je reste ici, finit-il par dire.
Ludvig ne le contredirait sûrement pas et, à moins que trois soldats viennent le traîner de force jusqu'à sa cellule, le daeva avait l'intention d'établir domicile dans la piaule du scientifique. Il préférait de loin être enfermé dans cette ambiance qui lui rappelait sans cesse son scientifique plutôt que dans cet environnement froid et stérile qu'était sa cellule.

Hank Jefferson.
Le capitaine était encore un peu ébranlé et cela faisait plus de dix minutes qu'il observait sans bouger le tableau de Félix. Au fil des minutes, sa surprise était descendue, mais c'était toujours aussi frappant, sensuel... Merde, si ce n'était pas lui qui était représenté là-dessus, il aurait pu se branler devant une telle peinture!

Le sortant de ses pensés, le téléphone résidentiel de Félix sonna. Durant quelques secondes, Hank se demanda s'il devait répondre. Les gens ne trouveraient-ils donc pas bizarre que ce soit lui qui répondre chez le scientifique? Cela ne donnerait-il donc pas naissance à d'étranges rumeurs? Combattant sa paranoïa, il alla tout de même répondre.

-Dr. Lecha?
-Non, c'est Jefferson.
-Ah, parfait, c'est à vous que je voulais parler! Je n'arrivais pas à vous rejoindre sur votre portable alors Sam m'a dit d'appeler ici, capitaine.
-Je ne sais pas qui vous êtes, mais je suis en congé, adressez-vous à mon lieutenant Sam.
-Oh, pardonnez-moi, je suis le soldat Dubée du syndicat et on m'a demandé de vous rejoindre, car sans vous, les comportements de mes congénères n'ont pas de sens, tout le monde se relâche et personne n'est à son post... Je sais que même vous devez prendre congé, mais heu... on a vraiment besoin de vous!
-Pas moyen, arrangez-vous tout seul.
Hank était sur le point de froidement raccroché, mais le soldat le supplia au combiné.
-Non, non, s'il vous plaît, faîtes quelque chose! Juste un mot! Donnez simplement les tâches, faîtes l'horaire, je vous en supplie : rétablissez l'ordre!
Jefferson soupira.
-Très bien...
-C'est vrai?!
-À une condition.
-Ce que vous voulez! Que souhaitez-vous, capitaine?
-Ramenez le Dr. Lecha chez-lui, j'ai à lui parler.
Et il raccrocha.

À l'autre bout du fils, le soldat du syndicat se mit à la recherche de Félix. Il le trouva dans son labo, sans même toqué, il entra.
-Félix, Félix! S'il vous plait, retournez chez-vous! Je me charge de surveiller votre cobaye pendant ce temps, mais aller chez-vous sinon le capitaine Jefferson n'ira pas travailler et c'est le bordel sans lui!

Habitué Messages : 315 Date d'inscription : 06/07/2015

Yumi
J'étais un peu déçu de ne pas avoir de réponse et en même temps j'étais très rassuré de le voir rire et m'appeler par le surnom qu'il m'avait donné hier, j'en ignorait toujours la provenance, mais je préfèrai largement ce petit nom à mon numéro. Je lui fis un petit sourire avec un signe de tête.

C'est pas grave monsieur Félix, j'attendrai patiemment...

Sortant de l'ascenseur je le suivais sans discuter, regardant les couloirs, les portes, c'était pas très passionnant mais vu que ça serait sûrement ma seule sortie du jour autant regarder un peu. En passant près du soldat, je me collais au mur, accélérant le pas pour être plus près de Félix, l'arme du soldat d'hier dans mon dos encore bien présente dans mon esprit .
Arrivée à la salle, je me détendais un peu, bien que le stress et l'inquiétude soit présente. Allant sur le siège qu'on m'avait désigner mon attention fut attiré par le rapace et la j'étais comme une enfant, oubliant où j'étais, je restais assise en parlant presque tout sourire.

Oh un rapace... Il est magnifique, il est à vous ? C'est quoi comme race ? Il a un nom ?

J'étais plus vivante que tout se qu'il avait pu voir jusqu'à présent, mais ça ne m'empêchait pas d'obéir, le laissant m'attacher je regardais l'oiseau, faisant juste un signe de tête.

Je sais que je vais avoir mal, mais je serai forte, je veux rester en vie...

J'étais un peu distraite en parlant mais son retour avec le matériel me ramena bien vite à la réalité, je déglutis en regardant les seringues, comme il avait si bien dit, j'allais devoir m'y habitué. Inspirant un grand coup, je parlais beaucoup moins assuré

j...je suis prête....

Alors que j'attendais qu'il commence, la porte s'ouvrit d'un coup, me faisant sursauté, le coeur battant vite, j'écoutais le soldat demander à Félix de rentrer, j'ai au début pensé que j'allais être ramener à la fosse pour la journée mais le soldat semblait vouloir me surveiller et ça me rassurait pas du tout. En plus attaché comme ça n'importe quel scientifique pouvait entré et décider de m'utiliser comme cobaye pour d'autres expérience et sûrement plus douloureuses. Je regardais Félix inquiète qu'il décide de me laisser seule ici attaché.

Admin Messages : 699 Date d'inscription : 07/02/2014 Age : 32

Ludvig

- Un appel au secours.... si tu restes ici je vais devoir t'enfermer quand même. Pas comme si ça allait beaucoup te changer en fait.

Ça n'avait pas été une si bonne idée de jeter ce bipper en fait, l'appareil continuait de s'exciter contre le bureau où il avait été jeté, faisant soupirer le scientartiste et l'obligeant à se dégager de la chaleur de Vlad pour se diriger vers la salle de bain. Qu'est-ce qu'ils lui voulaient avec 82 ? Et quel était le rapport avec 412 ? Déjà qu'il ne savait pas si Julia avait fait ou non les examens qu'il comptait lui laisser, si en plus on commençait à vouloir lui refiler à lui le boulot dont Bart a hérité ça n'allait pas le faire. En temps normal il aurait pu directement se servir un verre, s'habiller rapidement et descendre voir ce qu'ils lui voulaient, mais avec la soirée de la veille une douche n'était pas de trop, et si ça pouvait lui faire gagner un peu de temps....

Julia

L'instinct de survie pouvait permettre bien des choses, ça n'était pas à une militaire que Julia allait apprendre ça

- On verra bien si j'y ai gagné au change. Ces cellules n'avaient pas été faites pour lui à la base, un rejet n'est pas à exclure même si ça m'arracherait un ongle.

Finissant son rapport d'opération, Julia se tourna vers les deux autres occupants de la salle, Gobbles étant retourné dehors au final pour rendre son estomac encore une fois. Jouant avec un scalpel comme un étudiant le ferait avec un stylo bic, la scientifique fit signe au daeva de sortir et fit de même avec la militaire pour enclencher le bouton d'appel des nettoyeurs

- Il faut que je récupère 423 pour ses bandes, et j'en aurai fini niveau escorte pour la matinée. J'ai comme l'impression que votre division est perdue sans votre capitaine, donc ça devrait pas poser problème que de vous laisser du temps libre. N'est-ce pas Gobbles ?

Le regard vitreux et la pâleur du militaire répondaient d'eux même. Lui en tous cas ça ne le dérangerait pas d'être mis au repos.

Anaka

Comment répondre à ça sans foutre la trouille à Taryn ? Oui, si elle avait coupé un bras à un daeva pour le plaisir de le lui regreffer un autre, elle serait calmée

- Sans doute oui. En général elle se calme assez vite, donc ça devrait aller.

Elle se calmait assez vite, c'était vrai, ça dépendait de la notion du temps de chacun mais ça restait vrai. Le temps de couper un bras, d'arracher un oeil, de retourner une articulation...... c'était relativement rapide.

Habitué Messages : 315 Date d'inscription : 06/07/2015

Taryn
Au moins une nouvelle un peu rassurante, en même temps si Julia devait juste changé mes bandages elle risquait pas de me faire vraiment mal, comme elle l'avait si bien dit, il ne faut pas appuyé dessus. Il ne restait plus qu'à attendre l'heure fatidique, il n'y avait rien à faire d'autre ici.

D'accord, je resterai quand même assez calme, sait on jamais. N'empêche c'est le comble que les scientifiques soient mal luné, normalement ça devrait plutôt être nous vu notre situation et la façon dont il nous traitent. Enfin ça changera rien à notre condition....

Je laissais le silence s'installer, essayant d'entendre un peu autour de moi, d'essayer juste à la voix de voir où se trouvaient les autre

Habitué Messages : 441 Date d'inscription : 26/04/2015

Félix

Yumi parlait comme si sa vie ne craignait rien, comme si elle était avec un ami ou un collègue, mais mieux valait pour elle qu’elle ne s’habitue pas à faire la conversation. Félix sursauta, alors qu'il allait commencer son travail, lorsque ce soldat déboula sans prévenir dans la salle d’examen, surtout que Félix avait une seringue à la main. Pour le peu qu’il soit en train de lui ouvrir le crâne, il aurait pu se planter en pleine opération. La veine sur son front gonfla à vue d’œil, et Félix lança un regard assassin au militaire.

- Premièrement, je ne vous ai jamais autorisé à m’appeler par mon prénom, soldat ! Deuxièmement, vous venez de m’interrompre durant mon travail ! Troisièmement, vous croyez vraiment que j’en ai quelque chose à foutre de vos problèmes ? Si vous êtes pas capable de vous gérer sans Jefferson, ça ne me regarde pas ! S’il veut me parler, va falloir qu’il attende que j’en ai fini avec 525 ! Merde, quoi ! Je suis pas à ses ordres ! Dîtes lui que quand j’en aurais fini, j’irai à son bureau pour régler le problème !

Quoiqu’il lui demande, il ne laisserait pas Yumi seule avec un militaire, il avait trop encore en tête la tentative sur 412 pour prendre le risque de laisser son cobaye sous la garde d’un soldat qu’il ne connaissait pas. Alors qu’il callait la tête de 525 dans un étau pour ne pas qu’elle bouge, Félix mit ses gants avant de finalement, soupirer. Qu’est ce que Jefferson lui voulait encore ? Le tabasser à cause de hier soir ? D’un coup, il réalisa ce que le militaire venait de lui dire. Il était chez lui ? Dans son studio ? Il avait du mal comprendre. Sans doute le soldat voulait parler du labo général de la division 4, Jefferson ne serait pas resté dans son studio minable. Il se frotta le visage, enlevant alors ses gants qui n’était plus stérile pour en enfiler d’autres, ne prêtant plus attention au soldat pour enfin s’occuper de Yumi.

- Contrairement à mes collègues, j’aime bosser dans le silence et que le travail soit propre et net. Je vais t’injecter ça. C’est un antalgique. Ca limitera la douleur. Ensuite, je vais devoir te faire deux autres injections. Une dans l’œil, une autre dans le crâne. Vu que tu seras sous anesthésie, tu devrais pas sentir grand-chose. Reste tranquille et ça passera comme une lettre à la poste.

Sans attendre, Félix fit la première piqure, attendant quelques minutes avant de finalement se pencher vers l’œil de Yumi. Ca lui picotera légèrement, mais contrairement à une injection sans antidouleur, c’était largement supportable. Les yeux des rapaces étaient bien plus performants que ceux d’un humain, et s’il parvenait à modifier génétiquement la morphologie de son œil gauche, le cerveau n’allait logiquement pas suivre. Il devait donc aussi modifier sa structure cérébrale, mais simplement sur son sens de la vue. Après tout, on ne lui demandait pas de la transformer en piaf totalement. Fermant l’œil gauche de la daeva, il attrapa alors une seconde seringue, bien plus épaisse, qu’il enfonça dans le crâne de Yumi, injectant un nouveau composé génétique. Si tout ce passait bien, ces produits allaient modifier la structure ADN de la daeva tel qu’il l’espérait, même si le résultat ne serait visible que dans plusieurs jours.

Hélis

Gobbles avait une mine lamentable et ça faisait franchement marrer la militaire. Par contre, Julia marquait un point, les militaires avaient un mal fou à s’autogérer, mais ils avaient trop pris l’habitude d’avoir Jefferson derrière eux, vu qu’il n’avait jamais pris de congé de sa vie, du moins de ce que se souvenait Hélis.

- Il est vrai qu’il est étrange que le capitaine ne soit pas à son poste ce matin, mais présent ou non, nous devons rester à notre poste.

Elle lança un regard sans équivoque au soldat Gobbles, qui pestait d’un coup, il était clair qu’il allait prendre sa pause avec ou sans le consentement de Hélis. Pour Pyros, elle resterait jusqu’au soir, à moins qu’on l’autorise à prendre son temps de repos plus tôt. Elle ne dirait pas non, mais sans ordre direct, elle bosserait comme à l’accoutumé. Poussant le daeva emputé, elle se dirigea vers l’ascenseur pour le reconduire à la fosse. Elle resterait avec Julia pour le deuxième cobaye, après tout, c’était son job.

Habitué Messages : 308 Date d'inscription : 19/08/2015

Vlamidir.
Sérieusement, le daeva se fichait d'être enfermé ou non. Avec le temps, il ne cherchait plus à s'enfuir. Rien ne l'attendait plus en dehors de la base. Les seules fois où il tentait vraiment de sortir de sa cellule, c'était juste pour éprouver le système de sécurité, mettre a jour des failles tout en s'amusant un peu, parce que, bien évidemment, il n'y avait pas énormément de loisirs pour un daeva de la zone 52. Néanmoins, à l'annonce de Ludvig, il tiqua sur un détail.

-Si tu peux m'enfermer ici, ça signifie que la porte se barre de l'extérieur et que je pourrais t'enfermer avec moi?

Vlad libéra le scientifique lorsque ce dernier voulu aller prendre sa douche et reluqua les fesses de ce dernier alors qu'il lui faisait dos. Étirant le bras, il attrapa le bipper et fit défilé les codes et les appelles reçues. Il lui suffit que d'apercevoir le numéro de Natalia pour grincer des dents. Il prit donc quelques libertés. La première, ce fut de prendre un téléphone quelconque qui traînait pas là et d'appeler Julia.

-Hey, Ju'! Est-ce que tu me reconnais que par la voix? C'est Vlad' et j'ai un truc à te proposer : Lud' te laisse 412 et si tu lui fais des dommages irréparables, je te laisserai jouer un peu avec moi. Aller, laisse-toi tenter, je suis certain que ton esprit tordu à quelques acides à tester encore.
Il fit un sourire forcé même en sachant que Julia ne pouvait le voir.
-Aller, bonne journée!
Et il raccrocha.

Sa seconde liberté, bien plus impulsive, fut de jeter le bipper contre un mur, le brisant.
-Oups...

Pas grave, ils en donneraient un nouveau à Ludvig d'ici la fin du jour et, en attendant, ils n'entendaient plus ces bips énervants. Après ça, Vlad descendit paresseusement du lit et entra dans la salle de bain pour rejoindre le scientifique sous la douche, se glissant derrière lui.

Hank Jefferson.
Le soldat ne s'attendait pas à éprouver autant de difficultés à convaincre Félix. Visiblement, il s'était passé quelque chose entre Jefferson et Lecha, mais il n'arrivait pas à déterminer quoi. Se reprenant, il se racla la gorge et tenta plus fort de convaincre le scientifique. Il le devait!

-Oh, pardon, Dr. Lecha... Je croyais que vous vous souveniez de moi : Nous avons joué au poker ensemble quelques fois.

Il déglutit.

-Le capitaine Jefferson a prit un jour de congé et on ne peut le rejoindre qu'en appelant chez-vous..., commença-t-il à expliquer, donc il n'ira probablement pas à son bureau. Dans combien de temps en aurez-vous fini avec votre cobaye? je vais lui communiquer.

N'attendant même pas la réponse de Félix, il composait déjà le numéro résidentiel de celui-ci, lui montrant du coin de l'oeil pour lui prouver que le capitaine n'était joignable qu'en appelant chez le scientifique.

-Capitaine Jefferson?
-C'est moi.
La voix était implacable, ferme et grave à l'autre bout du fils, avec une petite pointe d'impatience, voir peut-être d'énervement.
-Venez travailler, sinon il y aura de nombreux accidents, personne n'est capable de s'organiser et ça traîne de la patte.
-Dr. Lecha a-t-il dit qu'il retournait chez-lui?
-Heu... Non, il veut vous voir à votre bureau quand il en aura terminé avec son cobaye.
-Très bien.
-C'est vrai? Vous venez travailler, vous abandonner votre congé?!
-Non. Je reste bien sûr. Le Dr. Lecha reviendra à son domicile ce soir et je le verrai à ce moment-là. Passez une bonne journée.
Bip. Le téléphone raccrocha.

Le soldat grogna, il n'avait même pas eu le temps de dire à Jefferson dans combien de temps Félix finissait de travailler! Insensible aux expériences morbides que menaient Félix pendant qu'il lui parlait, il enchaîna.
-Il doit s'être passé quelque chose de grave! Le capitaine n,a pas pris de congés depuis des années! Une fois il avait une fièvre de 40 degrés qu'il est venu travailler! Cela ne vous inquiète donc pas?

Admin Messages : 699 Date d'inscription : 07/02/2014 Age : 32

Julia

C'est une fois dans l'ascenseur que le cellulaire de Julia sonna et la voix à l'autre bout ne pouvait en effet appartenir qu'à une personne, enfin personne, elle se comprenait. Ne prononçant mot, la scientifique rassembla les morceaux, pas tant ce que lui avait proposé Vlad, elle n'avait pas d'ordre à recevoir ou de marcher à passer avec un daeva, mais ce qu'elle pouvait comprendre au travers de cette conversation. Et au final, c'est de voir qu'il avait appelé des appartements de Ludvig qui lui fit naître un sourire malsain sur le visage. Le daeva qu'elle ramenait à la fosse avait préféré se coller un peu plus à Hélis, préférant la peste au choléra, mais ce sourire n'était pas pour lui. Oh ça oui, il lui en avait données des idées cet homme parfait, mais là il lui ouvrait carrément une porte vers le gain colossal d'un nouveau pari. Mais d'abord elle devait se charger de Taryn et parler à Ludvig

- En fin de compte je n'aurai pas besoin de militaires cette après midi. Anaka est douce comme une agnelle.

Les deux mâles de l'ascenseur semblaient sur le point de protester chacun à leur façon, mais les portes de l'appareil s'ouvrirent sur le 5e sous sol avant qu'ils ne puissent ouvrir la bouche et Julia ne perdit pas de temps pour sortir échanger son amputé contre son aveugle.

Ludvig

Si Vlad pensait faire son petit marché avec Julia sans se faire rôder, c'était mettre à la benne bien vite les sens de Ludvig. Certes, il n'avait pas ses oreilles, mais le scientartiste eut quand même un léger rire en entendant les propos du Daeva dans la pièce d'à côté, comme quoi ça avait du bon d'avoir laissé la porte ouverte. Par contre le coup du bipper lui fit lever les yeux au ciel sous la flotte. Heureusement qu'il n'avait pas de message important. Quoique, il y en avait un portant le nom de Gunberg qu'il n'avait pas lu maintenant qu'il y pensait..... L'arrivée de Vlad lui fit oublier ce détail et lui permit de répondre à cette idée qui devait germer dans le crâne de l'homme parfait

- Si tu veux m'enfermer avec toi, il va falloir trouver mieux que de fermer la porte mon agneau.

Le verrou était certes basé sur une clé comme pratiquement toutes les portes, mais les appartements de chacun des membres du personnel avaient une autre sécurité quand ils devaient s'absenter de leur chez-eux. Et cette sécurité était tout simplement leur ADN. Une goutte de sang sur la languette dédiée à l'analyser et le verrou sautait ou se fermait de lui même. Ça n'était pas pour rien que la section de clonage avait interdiction formelle de faire des doubles à partir d'ADN du personnel.

Habitué Messages : 308 Date d'inscription : 19/08/2015

Vlamidir.
Le daeva n'avait prit aucune disposition afin de ne pas se faire prendre parce que, sérieusement, se faire chopper ne le dérangeais pas vraiment... surtout si c'était par Ludvig. Hier soir, sous l'effet de l'alcool, il lui avait bien fait comprendre qu'il était jaloux, non? De ce point de vue-là, sa réaction était toute à fait normale, voir même prévisible quand on le connaissait depuis suffisamment longtemps.

-Je pourrais t'attacher, proposa-t-il avec un sourire pervers tout en agrippant les poignets de Ludvig et en les épinglant contre la parois humide de la douche. Je suis certain que tu aimerais ça en plus, continua-t-il de susurrer en plaquant son corps contre celui du scientifique.

Il lécha ses lèvres et les déposa sur la nuque de son compagnon, la mordillant gentiment.

Habitué Messages : 441 Date d'inscription : 26/04/2015

Natalia

Alors que 82 s’était de nouveau calmé sous ses chants, Natalia réfléchit à sa propre condition. Le temps lui paraissait long, et elle vint à se rappeler que Julia l’avait changé de cellules sans en dire mot à son maître scientifique. Allait-il la chercher ? Allait-il l’abandonner s’il ne la voyait pas dans celle qui lui avait assigné ? Elle n’avait pas hâte d’être l’objet des expériences de Ludvig, mais elle s’y était préparée, grâce paradoxalement aux dossiers qu’il lui avait laissé concernant Vlamidir. Engouffrée dans sa couverture, elle écoutait les va et vient incessants dans le couloir, se demandant ce qui se passait. A force de réfléchir à ce qui allait lui arriver, Natalia finit par croire que Ludvig ne viendrait pas, il était sans doute trop tard. Se levant et s’étirant, elle laissa tomber sa robe de daeva et s’engouffra dans la douche, s’attachant les cheveux avec un bout de ficelles qu’elle avait trouvé, permettant à ses cheveux soyeux de rester au sec grâce à un chignon lâche et improvisé. Tirant le rideau, Natalia ne pensait plus à rien, ignorant les aller et venus dans le couloir, ignorant même si quelqu’un ouvrait la porte de sa cellule, elle était dans sa tête complétement seule derrière son rideau de douche.

Hélis

Hélis ne s'occupa pas de la conversation téléphonique de Julia, mais la voir sourire ainsi l'intrigua quand même, et encore plus que le daeva se rapproche d'elle. Elle ne lui avait pas que coupé un bras, elle lui avait enlevé une partie du cerveau, ce n'était pas possible autrement! Sortant de l'ascenseur, Hélis dut quand même contredire Julia.

- Désolé Dr Lambert, mais nos ordres sont clairs, aucun scientifique seul avec un daeva. Que vous le vouliez ou non, on va devoir vous assigné quelqu'un. Après, vous faîtes ce que vous voulez avec votre cobaye, ça ne nous regarde pas. Et même si Anaka est innofensive jusque là avec vous, nous n'avons pas le choix.

Elle n'allait pas apprécier, mais en même temps, ce n'était pas comme si un militaire allait l'interrompre ou la géner dans son boulot. Quitte à ce que ce soit Hélis qui soit de corvée de baby sitting avec Julia, elle était tout à fait capable de se faire oublier dans un coin, mais toujours aux aguets au cas où ça tournerait mal.

Admin Messages : 699 Date d'inscription : 07/02/2014 Age : 32

Julia

- Dans ce cas, je peux tous soit vous faire soit mettre à pieds, soit remplir un dossier d'admission à la fosse étant donné que j'ai passé mon temps libre entre midi et deux avec Anaka hier. Et ce en tête à tête. Vous feriez un parfait cobaye pour la lutte contre le tabac soldat Pyros, nos médecins sont en manque de spécimens fumeurs.

Elle ne voulait personne dans ses pattes quand il s'agissait d'Anaka, tous les soldats le savaient, même Jefferson avait arrêté de grincer des dents quand il les voyait en tête à tête. Ça ne devait pas l'empêcher de se répéter les points du règlement en se cognant mentalement la tête contre les murs, mais c'était ainsi. Un coup de feu était bien trop vite parti, et la reptilienne était bien trop précieuse. Faisant ouvrir la porte de la fosse, Julia appela Taryn en poussant son autre cobaye vers son groupe d'amis. Qu'elle vienne seule ou accompagnée, elle s'en foutait, tant qu'elle débarquait.

Ludvig

Sa jalousie n'était vraiment pas due qu'à l'alcool, et c'était bien ce qui faisait sourire Ludvig sous cette douche alors que Vlad lui mordillait la nuque

- Si j'avais voulu te fuir, je me serais pas occupé de toi pendant quinze ans. Mais si tu veux vraiment te débarrasser de 412, il va falloir que tu me laisses quand même confirmer tes dires à Julia. À un détail près.

Profitant d'avoir la peau trempée, Ludvig se libéra de la poigne de Vlad pour lui faire face et plaquer ses deux mains contre la paroi de la douche, de part et d'autre de la tête du Daeva

- Si je suis à toi, toi tu es à moi et à moi seul.

Le message était clair. Si Vlad allait s'amuser à jouer les cobayes avec d'autres scientifiques, lui assumerait son rôle de scientifique auprès d'autres cobayes.

Habitué Messages : 441 Date d'inscription : 26/04/2015

Félix

Alors qu’il s’apprêtait à vérifier la vision de Yumi, car mine de rien, il lui avait quand même injecté un composé génique directement dans la rétine, le soldat ouvrit une nouvelle fois sa grand bouche. Jefferson avait pris un congé ? Merde, ça l’avait autant traumatisé que ça alors ? La main de Félix trembla alors, se souvenant de la posture du capitaine sur son lit et surtout de sa tenue… C’est-à-dire rien… Son corps luisant sous la lampe blafarde de son studio. Fermant le poing, Félix attrapa le premier objet qui lui passa sous la main, et manque de bol, c’était le scalpel qu’il n’avait pas utilisé finalement.

- Sortez… Foutez moi le camp !

Hurlant comme un damné, Félix jeta l’objet coupant sur le sodat, se tranchant la main au passage. Ils avaient peut être joués au poker, mais ils n’étaient pas pôtes de chambrée, il lui devait le respect, et Hélis l’avait eu, parce qu’elle était une vraie amie, une pote de sexe aussi, mais une amie, Julia et Strauss à force de bosser ensemble, ses collègues de la section 4, les scientifiques en général. Mais dans les militaires, seul Jefferson avait l’autorisation jusque-là, parce qu’il était gradé. Ce n’était pas logique en un sens, mais c’était celle de Félix en tout cas.

Soupirant, reprenant son calme, il prépara des compresses et se repencha sur le cas de Yumi.

- Dis moi ce que tu ressens, picotement, douleurs. Et ensuite, dis moi si tu arrives à lire ce panneau là.

Montrant le panneau sur lequel il était noté « Alarme », Félix cacha l’œil non traité de la daeva. Normalement, malgré ce qu’il lui avait injecté, elle devrait voir légèrement trouble, mais sa vue ne devait pas être mauvaise, pas au point de l’empécher de lire ou en tout cas de déchiffrer.

Hélis

Sourire moqueur de la part de Hélis, Gobbles tremblait tellement qu’il aurait pu faire sur lui. Oser répondre à Julia ? Hélis devait être folle ! Mais elle savait que Julia ne ferait rien, et surtout, qu’elle ne pourrait rien contre Hélis, car elle faisait son taff’ et personne n’avait rien à lui reprocher là-dessus.

- Si vous arrivez à avoir une dérogation pour Anaka, aucun problème, je vous laisserai seule avec elle. Mais dans le cas contraire, vous allez malheureusement devoir me supporter. Un coup de fil devrait vite régler le problème je pense. Mais vous pouvez comprendre que je protège mes arrières, docteur, il y a eu beaucoup de disparitions de militaires ou de scientifiques ces derniers temps.

Ce n’était en rien une menace, juste un fait. Et puis, pour la veille, Hélis était avec d’autres scientifiques, donc rien à se reprocher de ce côté-là non plus. Mais Julia avait tendance à utiliser Anaka pour des expériences un peu trop personnelles aux yeux des autres, les rumeurs allaient bon train, et qu’elle use en plus des daevas des autres allaient finir par lui apporter un bon lot de problèmes. Mais Hélis n’attendait rien d’autre qu’une confirmation, même si ça allait saouler la scientifique, ce n’était pas son problème. Arrivant dans la fosse, Gobbles s’assit sur une chaise pour récupérer, tandis que Hélis restait près de Julia en attendant que Taryn daigne se lever et rejoindre son boureau.

Habitué Messages : 308 Date d'inscription : 19/08/2015

Hank Jefferson.
Le soldat bougea juste à temps pour éviter le scalpel volant.
-Mais vous êtes malade?! Il faut vous faire soigner! cria-t-il en s'enfuyant aux pas de course de ce scientifique complètement maboul.

Ne voulant pas accepter la défaite, il dut trouver une nouvelle manière de parvenir à ses fins. Si lui ne pouvait pas convaincre ni Félix ni Hank, il devait trouver quelqu'un qui le pouvait. Pour le capitaine, ce n'était même pas la peine d'y penser. Il n'avait jamais vu graviter personne autour de lui et savait que Jefferson avait le crâne plus dur que le roc. Quant à Félix, il lui semblait que cet homme était doté en général d'un bon caractère qui aimantait les gens. Il pensait d'ailleurs l'avoir souvent vu traîné avec une soldate de sa division. Il contacta donc son lieutenant Sam pour savoir où elle avait été affectée pour la journée. Après s,être renseigné, il appris qu'elle était avec Julia. Il chercha donc la scientifique en passant par la salle de bureau et les laboratoires avant de la trouver près de la fosse. Essoufflé après sa course folle, il prit quelques secondes pour rattraper sa respiration, puis s'adressa à la femme du groupe qui ne portait pas de chemise blanche, mais qui abordait plutôt l'uniforme militaire de la base.

-Vous êtes bien la soldate Pyros? s'informa-t-il. Je suis du syndicat, donc plus gradé que vous, écoutez-moi, je vous en supplie, et j'aurais besoin de votre aide. Vous devez amener le Dr. Lecha à son domicile dans les plus brefs délais, car cela en va de la sécurité de l'organisation. Vous devez être bien placée pour le voir, mais sans Jefferson qui a pris congé indéterminé, c'est le bordel et les risques sont trop grands. Le seul problème est qu'il reviendra mettre les choses sur pied que s'il réussit à parler au docteur... Bien entendu, si vous réussissez cet exploit, je parlerai bien sûr à nos supérieurs afin de vous obtenir une promotion. Alors, qu'en dîtes vous? finit-il par proposer, croisant les doigts pour que la jeune femme accepte la proposition, ne serait-ce que pour l'argent ou que pour embêter son ami tout en étant rémunérée pour.

Dans les appartements de Félix, Hank tournait en rond comme un lion en cage. S'allongeant sur le lit pour contempler le plafond avec admiration, cette activité ne dura pas deux minutes qu'il se releva, le trac au ventre et des fourmis dans les jambes. Il s'était rendu compte que les draps étaient tâchés rouge à cause du vin de hier. Sans pouvoir s'en empêcher, il fit donc le lavage, mettant du sel sur les tâches - vieux truc de grand-mère - pour tenter de les faire partir plus vite. Il se frotta l'arrête du nez, se demandant s'il n'était pas en train de se transformer en fée du logis!

Vlamidir.
Effectivement, sa jalousie n'était pas que passagère sous l'effet de l'alcool. Néanmoins, à jeûne, il serait plus ardu de lui faire avouer à quel point il était jaloux de tous ceux approchant Ludvig de trop près et, en priorité sur sa liste, de la nouvelle cobaye quatre cent quelque chose!

Vlad fut si surpris de se voir ainsi plaqué contre la parois opposée de la douche qu'il n'opposa quasiment aucune résistance à Ludvig. Les yeux un peu écarquillés, il observait le scientifique, lèvres un peu entrouvertes.
Alors, comme ça, il n'était pas le seul à être jaloux, hein?

-C'est pas bien d'écouter les conversations des autres, réprimanda-t-il Lud avec un sourire amusé voir moqueur lorsqu'il devint évident que ce dernier avait entendu ce qu'il avait dit à Julia.
Il soupira.
-Je n'ai pas tant envie de jouer son cobaye, mais je n'ai rien d'autre qu'elle pourrait vouloir.
Il voulait bien croire que Julia avait des instincts sadiques à satisfaire, mais en avait-elle suffisamment pour faire souffrir une daeva simplement parce que on le lui demandait?

Même s'il ne le laissa pas paraître, les paroles de Ludvig l'avaient soulagé. Ainsi, il ne serait qu'à lui seul et ne laisserait personne d'autre l'approché. Même s'il était toujours un peu jaloux, ça l'aiderait à dormir. Dans un élan, comme si une bulle venait d'éclater dans son cerveau, il pencha un peu le cou et captura les lèvres du scientifique. Ne sois rien qu'à moi...

Habitué Messages : 315 Date d'inscription : 06/07/2015

Yumi
Rassuré que Félix ne me laisse pas seule avec le militaire, j'essayais de me détendre un peu, regardant les seringues, si je m'étais laisser attaché sans histoire, et sans réaction, il n'en était pas de même pour l'étau à la tête. Au je m'étais laissé faire, mais la panique m'avait gagné, mon coeur battant de plus en plus vite quand il m'expliquait se qui allait m'arriver mais aussi qu'il allait limité la douleur. J'avais envie de pleurer à la simple idée d'une aiguille dans mon oeil mais je me retenais, ne prononçant plus un mot pour obéir à Félix et le laisser travaillé en silence.
Comme promis la première injection était contre la douleur, je le sentais avant même qu'il me fasse autre chose, ma tête était devenu plus lourde. Si je n'avais pas mal quand il me piqua l'oeil, je ne pu retenir un petit cris de souris à la simple vision de se qu'il faisait, j'avais essayé de retenir un maximum les larmes mais elles finir par coulé un peu, c'était nerveux, ma respiration avait été haletante tant qu'il était dans l'oeil, ne me détendant que quand il avait fini. Je le laissais fermer l'oeil, sentant la deuxième injection qui elle n'eu pas autant créer de stress, je la sentais mais sans la voir et c'était pas douloureux donc aucune raison de paniqué.
Le soldat semblait vraiment en avoir rien à faire d'énerver Félix, risquant de le déconcentrés et ainsi causé ma perte, en voyant de mon seul oeil encore ouvert Félix prendre un scalpel sous l'énervement, je paniquais, tremblant légèrement jusqu'à ce qu'il le lance. Ce qui était étonnant c'est qu'il s'en prenait au bonne personne, restant d'un calme avec moi qui me rassurait un peu sur l'avenir. Mais je devais pas l'énerver non plus, donc obéissant je parlais timidement.

J'ai pas mal, mais ça démange, j'ai envie de gratter mon oeil tout le temps...

Et c'est sûrement se que je serai déjà en train de faire si j'étais pas attaché. Regardant le panneau qui était flou

C'est flou mais je dirais alarme ?

Taryn
J'étais silencieuse calme dans mon coin à écouter quand Julia m'appelait, je pris un air plus dur, peu motivé mais j'allais suivre les conseils qu'on m'avait donné. Me levant j'essayais de m'orienter vers la scientifique, elle se moquait de moi, m'appeler comme un chien pour que je vienne alors que j'étais aveugle. Plusieurs personnes me bousculèrent sûrement pour me poussé vers Julia. Le dernier me fis presque tomber, me tournant vers l'endroit d'où je venais, je criais

Nan mais ça va pas, ta jamais appris les bonnes manières ! Crétin !

J'étais inconsciente que je me tenais à 1m de Julia. C'était peut-être pas très futé de me comporté comme ça mais j'étais moi aussi d'humeur passable, ne rien voir me rendais folle.

Habitué Messages : 441 Date d'inscription : 26/04/2015

Félix

Entendre que son oeil la grattait ne plut pas des masses au biologiste. Cétait un des effets qu'il redoutait, non pas que c'était mauvais pour ce qu'il entreprenait, mais 525 allait avoir tendance à vouloir se gratter l'oeil par reflexe, et ca c'était un risque d'infection si elle y mettait les doigts. Mais au moins, elle lisait meme avec difficulté à une distance d'un mètre, ce qui lui fit esquisser un sourire de satisfaction.

- je vais panser ton oeil pour eviter justement que tu ne le maltraites. Evite de toucher au pansement quand meme, si une poussière vient s'y loger, tu risques de perdre la vue. Je ne fais qu'un oeil pour le moment. Demain, on verra comment ca aura évolué et si je peux m'occuper de l'autre.

Logiquement, elle ne devrait rien ressentir de trop génant avant le lendemain, quelques picotements tout au plus. Par contre, elle allait douiller le lendemain ou meme le soir, vu que son nerf optique allait tout simplement se génerer de nouvelles connections. Il fallait vraiment qu'elle évite d'utiliser son oeil pour le moment pour que l'opération soit plus rapide grâce àau repos forcé. Alors qu'il libérait le cráne et les poignets de la daeva, Felix posa une compresse sur l'oeil traité et banda le crane pour s'assurer que rien ne bouge. Bougeant la chaise jusqu'au frigo, il ne regardait plus Yumi.

- Enlève le haut et allonge toi sur la table d'examen, sur le ventre, faut que ue verifie un truc sur ton dos.

Helis

Alors que Taryn arrivaitvà sa manière, un soldat plus gradé qu'elle vint l'interpeller. Ce type jouait au poker avec elle dès fois et il n'avait toujours pas capté son nom... Ca promettait. Mais les dires du sokdat manquaient de lui faire péter un cable car cela révélait un sous entendu bizarrr sur son capitaine et Felix, devant Julia la psychopate en prime.

- Le capitaine a pris un congé? Meme si ca doit être grave pour qu'il ne vienne pas, c'était aussi l'occasion de lui prouver ce que nous valions vraiment en son absence. Je me fous des promotions, mon poste me convieny parfaitement! Et pour le Dr Lecha, à votre place j'éviterai de venir l'emmerder pendant qu'il bosse sur un projet, ou vous risquez un joli lancé de scalpel. Intercepté le quand il aura terminé, il devrait surement accepté d'appeler le capitaine ou d'aller le voir directement.

Admin Messages : 699 Date d'inscription : 07/02/2014 Age : 32

Ludvig

Sa réaction avait visiblement surpris agréablement le Daeva, et Ludvig se laissa embrasser bien volontiers

- Je me charge de Julia, mais il va falloir se la jouer finement si on veut pas que les grands pontes ne se mêlent à cette histoire. La faire lentement glisser vers la section médecine, lui faire prendre le même chemin que 82, je trouverai bien. Et je ne doute pas que tu puisses me donner quelques idées.

Un sourire mesquin aux lèvres, le scientartiste laissait ses doigts glisser sur le torse de Vlad en énonçant ces possibilités, l'embrassant une nouvelle fois avant de finir de se rincer et de sortir de cette douche. Il devait déjà aller voir ce qu'ils lui voulaient avec 82, ça lui mettrait sans doute quelques possibilités en branle pour se débarrasser de 412 par la suite.

Julia

Finalement Anaka n'avait pas accompagné Taryn, et les autres daeva semblaient bien pressés de la voir partir vu comme ils la bousculaient. Au final tout le monde semblait avoir décidé de la mettre en rogne ce matin, entre Ludvig qui se ferait pardonner tantôt, Hélis qui s'accrochait au règlement comme si par miracle elle en avait saisi l'utilité pendant la nuit, et les daeva qui n'y mettaient pas du leur..... L'arrivée de ce soldat paniqué par contre blasa la scientifique alors qu'elle tirait Taryn hors de la fosse, jusqu'au moment où son cerveau calcula un truc. Quel était le rapport entre l'appartement de Félix et le congé de Jefferson ? Il n'avait quand même pas décidé de camper chez le scientifique, si ?

- Quand je disais que vous étiez paumés sans votre capitaine.... Vous survivrez bien le temps que Félix finisse, en espérant que le problème ne soit pas justement entre eux.

Auquel cas, Félix ne risquait pas de rentrer chez lui avant d'y être forcé, auraient-il passé une ligne qu'ils n'auraient pas du en temps normal ? Julia n'en savait rien, mais elle s'en fichait un peu, elle avait les bandages de Taryn à changer, et de ce fait elle tirait la daeva par le bras pour la faire suivre dans le couloir menant à l'ascenseur.

Habitué Messages : 308 Date d'inscription : 19/08/2015

Hank Jefferson.
Le pauvre soldat était dégoûté. Pourquoi donc personne ne voulait y mettre du sien? Personne ne semblait comprendre qu'il devait être arrivé quelque chose de grave pour que le capitaine s'absente ainsi soudainement et qu'il n'y avait pas moyen de savoir quand est-ce qu'il reviendrait travailler. Ils ne pouvaient pas se permettre de perde un aussi bon effectif! Rouge de colère, il fusilla la soldate du regard.

-Très bien. Je ne voulais pas en arriver là, mais je crois que je n'ai plus le choix... Allez chercher Félix, faîtes ce que je vous dis ou vous pourrez dire adieu au job que vous aimez tant!
Il était du syndicat et plus haut gradé alors il en avait entièrement le pouvoir, en plus, même s'il lui faudrait sans doute l'accord de quelques autres personnes.

Après son petit élan de colère, il regarda Julia.
-Nous ignorons tout de la source du problème, madame.

Vlamidir.
Un peu déçu de voir Ludvig le quitter si tôt, il resta plus longuement dans la douche après le départ du scientifique, prenant bien le temps et le soin de se laver et de se rincer. Il se sécha d'une serviette prise au hasard et la raccrocha ensuite. Sortant de la salle de bain vaporeuse, complètement nu, Vlad fouilla dans les commodes de Ludvig pour lui dérober un haut ample et un pantalon long quelconque qu'il enfila bien qu'il s'y sente un peu à l'étroit.

Habitué Messages : 441 Date d'inscription : 26/04/2015

Hélis

Alors que Hélis allait suivre Julia, elle s'arréta nette face aux ordres du gradé, de peu, mais tout de même. Son regard était de glace, et elle se retenait de claquer ce type contre le mur sur le coup. Pour les parties de poker, il pouvait désormais se les carrer là où elle pensait.

- A vos ordres, monsieur. Mais sachez qu'il n'est pas dans mes attributions de forcer un scientifique à me suivre. Je vais de ce pas avertir le Dr Lecha de l'urgence, et resterai près de lui le temps qu'il daigne retrouver le capitaine.

Elle ne forcerait pas Félix, de toute façon, il était du genre électron libre comme les autres scientifiques. Les soldats étaient là pour défendre, limite mettre aux arrêts si l'état major l'ordonnait, mais obliger un scientifique à quitter son boulot pour un tête à tête, non clairement pas.

Habitué Messages : 308 Date d'inscription : 19/08/2015

Hank Jefferson.
Le pauvre soldat était totalement au courant que ce qu'il demandait à Hélis n'était pas très honnête... Il savait que ce n'était pas plus éthique non plus, mais avait-il vraiment le choix? Le lieutenant et ses supérieurs allaient lui taper dessus s'il ne réussissait pas cette simple mission, puis en plus de ramener l'ordre au sein de la division - voir de même de toute la base - il gagnerait peut-être une petite promotion au passage.

Comme la soldate s'inclinait, il soupira de soulagement.
-Ah, vraiment, merci beaucoup! C'est gentil de votre part. Je vous souhaite bonne chance! Je m'occuperai personnellement d'escorter la Dr. Lambert ou je demanderais à un autre soldat de le faire. Je vous dis encore merci, votre geste sera très apprécié et, qui sait, vous entrerez peut-être à nouveau dans les bonnes grâces du capitaine après cela!
Il avait entendu dire que la jeune femme avait dû passer toute la nuit à la fosse à cause d'un petit écart de chemin devant Jefferson, se serait l'occasion de lui montrer sa dévotion.

Admin Messages : 699 Date d'inscription : 07/02/2014 Age : 32

Ludvig

Enfermer Vlad chez lui fit bizarre à Ludvig sur le coup. Rien que de le savoir sous sa douche, à emprunter son linge, dormir dans son lit.... finalement ces quinze années à "bosser ensemble" les avait sans doute plus rapprochés que ce qu'il pensait au départ, et il avait suffit d'une provocation pour faire dévier un peu leur relation. Y avait-il vraiment des sentiments là dedans, à part cette envie de posséder totalement l'autre, le scientifique en doutait. Est-ce que ça lui posait problème ? Pas vraiment non. L'esprit tranquille, Ludvig descendit à son bureau au labo, se prenant un verre en guise de petit déjeuner tout en lisant ce que Julia lui avait laisser. Un grognement lui vint en constatant le kyste, mais au fond c'était sans doute un bon moyen de faire appel aux médecins, après tout ils devaient bien avoir un produit pour lui virer ça. Posant le dossier en constatant le deuxième détail qui allait lui faire se servir un autre verre, Ludvig alla rejoindre Bart pour savoir ce qu'il lui voulait à propos de 82

- Ha, enfin tu réponds. On a un soucis avec 82.

- TU, as un soucis avec 82.

- Mouai... Mais bon, vu que t'as eu ta formation avec le créateur de Vlamidir, je me disais que tu pourrais me filer un coup de main....

- Pour cette loque ? Qu'est-ce qui t'arrives encore ?

L'entendre répondre qu'il verrait bien ne mettait pas Ludvig dans la plus grande des envies de le suivre. Mais il le fit quand même, apprenant au passage que Julia avait laissé 412 dans la piaule d'à côté. À peine Bart eut-il ouvert la porte de 82, flanqué de deux militaires chargés de garder un oeil sur eux deux, le daeva en ruine agrippa Ludvig par le col les yeux pleins d'espoir. Le scientartiste dut faire baisser son arme au soldat le plus proche pour laisser 82 finir ce qu'il lui disait et qui l'avait intrigué

- Elle est pour moi ? La gentille chanteuse. Je suis plus tout seul maintenant plus tout seul...

Lâchant Ludvig pour s'asseoir dans un coin répéter en boucle qu'il n'était plus seul, 82 ne remarquait même plus la présence des scientifiques. Mais ce qui intriguait Ludvig était plus les plaques rouges qui se formaient autour de ses greffes de peau qu'autre chose.

Julia

Finalement Hélis lui foutrait la paix, ça n'était pas plus mal. Mais si elle collait au train de Félix ça allait être coton pour l'après midi. Elle trouverait bien. De toute façon il fallait qu'elle parle à Ludvig et à Anaka avant de se lancer là dedans. Le soldat finit par se poster à ses côtés, sans doute un peu trop soulagé aux yeux de Julia

- Sérieusement, laissez le respirer le pauvre. C'est pas votre paternel, vous devriez être assez grands pour vous en sortir seuls dans ce foutu bataillon.

Une bande de gamins, voilà ce qu'ils étaient. Et de tous, c'était sans doute encore Jefferson le plus jeune, ce qui rendait le constat encore plus affligeant. Appuyant d'un coup de poing sur le bouton de l'ascenseur, Julia se sortit une clope pour se détendre un peu. Ça ne durerait pas longtemps avec Taryn mais il fallait qu'elle se calme si elle voulait faire correctement son boulot.

Anaka

Peu après le départ de Julia avec Taryn, Anaka décida qu'il était temps de prendre congé dans la bouche d'aération. Les cris de colère commençaient à monter entre les deux amputés, le goût salé des larmes se mêlant à l'odeur du sang de celui qui venait de revenir. Ils avaient été amis, il l'avait aidé en le voyant revenir avec un bras en moins, et voilà qu'il payait de ce même bras son incapacité à prendre son courage en main. La reptilienne comprenait bien l'incompréhension qui planait dans l'esprit de celui qui venait de revenir, mais de là passer sa colère sur son ancien ami qui s'en voulait déjà à mort, Anaka finit par se mettre en boule dans l'aération, se couvrant la tête de ses bras pour ne pas entendre cette énième bagarre au sein d'un groupe autrefois soudé.

Habitué Messages : 441 Date d'inscription : 26/04/2015

hélis

Mais quel espèce de... Hélis se retenait de lui balancer son poing dans la tronche. Il lui ordonnait d'aller chercher et après ça, il la remerciait comme si elle lui rendit un service de bon coeur. Quant aux bonnes grâces de Jefferson, elle n'en avait pas grand chose à faire en vérité. Elle faisait son taff, point. Elle n'attendait pas un remerciement, ni un sucre-sucre parce qu'elle avait bien fait son boulot. Quand elle fut près de l'ascenseur, elle lâche un "enfoiré", assez fort pour Julia, inaudible pour le soldat. S'engouffrant dans l'ascenseur sans un mot, sortant à son tour une clope qu'elle alluma dans l'ascenseur, tendant son briquet à Julia.

- Finalement, vous allez avoir la paix, et vous n'avez pas du lever le petit doigt. Vous êtes une sacrée veinarde.

Natalia est toujours sous sa douche XD

Habitué Messages : 308 Date d'inscription : 19/08/2015

[Je t'aurais bien proposé de mes persos libres pour Natalia, mais ils sont tous confinés quelque part! ahah! x'D ]

Habitué Messages : 315 Date d'inscription : 06/07/2015

Yumi
Je l'écoutais m'expliquer les gestes à ne pas faire, les risque aussi, même si j'en avais très envie, j'allais devoir me forcé à ne pas y touché.

D'accord.. je n'y toucherai pas... je risque d'être comme Taryn ? aveugle pendant plusieurs jours ?

Autant savoir tout de suite à quoi m'attendre.
Respirant plus librement et soulagé de savoir que je pouvais encore voir d'un œil, que je finirai pas aveugle comme Taryn, je le laissais me détaché. J'étais prête à me lever pour partir, pensant qu'il allait me ramener à la fosse une fois se qu'il faisait fini. Mais je me trompais, c'est en sursautant que je pris la nouvelle, me déshabillé ? qu'est se qu'il allait me faire ? Tremblante j'ai obéis, enlevant mon haut pour aller sur la table d'examen, m'allongeant sur le ventre j'exposais mon dos, les cicatrices n'étaient pas horrible mais j'en avais de nombreuse et toute très fine, signe du passage de mon père. Une nouvelle fois Félix n'aurait pas d'information vu que mon dossier n'était pas complet mais j'étais sur que cela lui importerai peu d'où ça venait. Pour lui je n'étais qu'une cobaye, un projet plus ou moins important dont il serait fiers ou déçu selon la réussite.
Toute rouge je gène, je regardais le sol

J...je suis installé....

Taryn
J'avais sursauté de surprise en sentant Julia m'attraper par le bras pou me tiré sans douceur, je la pensais bien plus loin de moi. Me laissant entrainé de force vers l'ascenseur, je grinçais un peu des dents, de toute évidence tout le monde voulais mettre la sorcière de mauvaise humeur et moi j'étais loin d'en être ravi, ne voulant pas faire le frais de son sale caractère. Elle ne m'avait pas dit un mot depuis qu'elle m'avait cherché, savoir pour d'éventuelle douleur ou autre, aussi je fis comme elle, pratiquant la technique du silence, de toute façon j'avais rien à lui dire, rien qui ne me causerait pas d'ennui ou une remarque acerbe tel que hier quand elle parlait à Félix. Grimaçant je sentais l'odeur de la cigarette, je détestais cette odeur, mais si ça pouvais calmé Julia autant supporté sans bronché.

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