☠ Zone 52 ☠ RP ON / Inscriptions et nouveaux perso MP

[Au fait, ça m'achale depuis un moment : Le nom de mon perso est Vlamidir et non pas Vladimir (même si son surnom reste Vlad) alors pour ceux qui l'appellent ainsi, corriger le tire la prochaine fois, s'il vous plait :3 ]

Vlamidir.
-Tu m'as fais pour que je ressemble à ton idéale, non? Alors je ne verrais pas comment tu pourrais trouver mieux..., fit-il remarquer.

Un peu déçue de voir sa distraction du jour s'en aller, le daeva faillit user de sa grande force pour retenir Ludvig contre lui, mais il ne le fit pas puisqu'il espérait que Ludvig reviendrait vite et le meilleur moyen pour cela c'était de ne pas retarder le scientifique dans son travail. Lorsque la porte se referma sur les pas de Lud, Vlad se renfrogna. Grognant doucement, il se releva et se dirigea vers le lit bancal au fond de la petite cellule. Il s'y assit lourdement. Deux petites minutes seulement s'étaient écoulées depuis le départ de son scientifique préféré et il s'ennuyait déjà. Il aurait presque aimé une visite de Julia. Non, en fait, il aurait aimé ça tout bonnement. Ça lui ferait une petite agitation. Puis, il ne la détestait pas, cette bonne femme. Se moquer d'elle et plaisanter en sa présence était amusant, elle avait du répondant.

Il ne prit pas la peine de remettre ses vêtements, n'ayant pas une once honte de son corps. De toutes manières, qui pourrait bien le forcer à se vêtir? Seul sur le lit, Vlad commença à réfléchir à des choses insensées, puis il se demanda ce que pouvait bien fabriquer Ludvig. En se doutant qu'il était avec la nouvelle cobaye, un sentiment étrange de jalousie l'envahi. De souvenir, il n'avait jamais été jaloux, c'était tout nouveau pour le jeune homme.

Hank Jefferson.
Se dirigeant vers sa cuisine, il déposa son téléphone portable sur le comptoir. Il ouvrit le frigo et sortit de quoi manger. Pour entretenir son corps d'athlète et une bonne santé, il se devait de bien se nourrir. Il n'était pas mauvais cuisinier, même si sa cuisine était spartiate. Il se fit cuir un oeuf pour s'en faire un sandwich. Étant toujours seul, il ne s'attendait généralement pas à avoir de la visite de sitôt. Il était en train de manger à la table de la cuisine quant Félix se mettait en marche pour revenir dans ses appartements.

C'est modifié pour partout xD


Ludvig

Elle était en train de lui dire que non seulement ils lui avaient filé comme si elle venait d'être déterrée, mais qu'en prime ils lui avaient filé ni le bon caryotype ni les bonnes annotations ? C'était une blague ? Une fois Hélis partie, Ludvig frappa le mur d'un grand coup de poing à défaut d'avoir en face la tête d'un de ces incompétents. Ce dossier lui servait à rien finalement, il allait devoir se taper toute l'élaboration du caryotype et son analyse en prime s'il voulait avoir le bon dossier. Merveilleux, juste merveilleux. Non seulement ils faisaient leur boulot à moitié, car il était certain que son reflet la fuirait si par malheur elle croisait un miroir, mais en prime la moitié de faite était mal faite. Encore plus à cran, Ludvig ne prit pas la peine de ramasser son verre brisé au milieu du couloir, chose qu'il devrait apprendre à éviter étant donné qu'il se baladait en général pieds nus dans les locaux, et se dirigea vers son bureau de labo pour y balancer le dossier sur une paillasse. Il arrêta en revanche son geste en direction de la bouteille de gin, préférant finalement s'épuiser vraiment avec quelque chose qu'il appréciait. Comme il l'avait dit à Natalia, Vlad avait déjà du récupéré, et quitte à choisir entre sa présence et l'élaboration d'un profil génétique et allélique y'avait pas photo. Le scientartiste posa ses trois flacons au frigo avant de ressortit du labo et de se diriger à nouveau vers la chambre du Daeva, en espérant qu'on vienne pas le faire chier une nouvelle fois.


Anaka

Les bandages resteraient le temps que Julia estimerait nécessaire, et ça seuls des examens pourraient décréter la fin de l'aveuglement

- Y'a pas de quoi....

Et pour le coup il y avait vraiment pas de quoi. Encore pour la nourriture, sans doute aurait-elle vraiment eu besoin d'aide, mais pour ce qui était de se balader dans le coin, c'était pas pour la balade que c'était. Yumi était devenue bien silencieuse depuis quelques temps, comme prostrée. Sans doute n'allait-elle pas tenir dans cet endroit maudit. C'était triste à dire, mais Taryn avait visiblement une force de caractère, qui allait lui faire prendre des coups certes, mais qui la tiendrait debout. Yumi donnait plus l'impression de s'en prendre en continue des coups justement, et Anaka ne savait pas trop quoi dire ni faire, posant sa paume délicatement sur l'épaule de la jeune femme, prenant garde à ne pas la blesser.

Ah désolé! :s  J'avoue que j'étais persuadée que c'était Vladimir (en même temps, c'est plus courant! XD) Je ferais gaffe du coup
Par contre, pour Félix, je disais que c'était une bonne excuse, mais aller voir le capitaine le soir en fait! XD

Félix

Une fois dans l'ascenseur, le biologiste ne monta que d'un étage pour finalement tomber sur Hélis qui entra à son tour. Elle attendit que les portes se referment pour finalement ouvrir sa bouche.

- T'es qu'un con tu le sais ça?

- Désolé, sérieusement, je pensais pas que le capitaine te filerait 24h de boulots non stop.  C'est légal?

- Tu te trouveras bien quelqu'un d'autre pour faire une quinte flush, je m'en fais pas trop pour ça. Me regarde pas comme ça, si tu crois que j'avais pas compris ton petit manège. Un conseil par contre, évite Strauss aujourd'hui, tu risques de finir avec les incompétents du pole médecine.

Intrigué, Félix demanda à Hélis de tout lui raconter, le biologiste explosant de rire sur le coup.

- Sérieux? Il a du la tabasser la pauvre pour se passer les nerfs!

- Non, il a failli lui briser la mâchoire comme il l'a fait pour son verre de gin, mais c'est surtout par ce qu'elle a une grande gueule cette pouffe.

- Tu l'aimes décidément pas cette 412. Elle t'a piqué un mec dans le passé ou quoi?

- T'es con. Non, tu sais qui c'est Alexey Ivanov?

- C'est pas ce patron de la mafia qui s'était fait arrêté et tué durant un transfert?

- Ouais, ben 412, c'est sa fille. Ce mec a tué des tas de gosses à cause de ses saloperies de drogue, mais sa petite fille chérie, elle, a vécu dans le luxe et dans le confort. Au moins, y a une justice, elle pouvait pas tomber pire que sur Strauss.

- Euh… Si… Julia.

Long silence, avant éclat de rires, finalement, alors que l'ascenseur s'arrétait au sous sol des appartements militaires, Félix ne descendit pas, prétextant qu'il avait oublié quelque chose dans son bureau. Hélis se demanda quand même ce qu'il allait foutre à cette étage au départ, mais vu l'absence de réponse à sa question, elle en conclut qu'il avait réussi sans doute à avoir rendez vous avec une militaire, enfin en journée, c'était pas son style pourtant, mais elle laissa passer, et esquissa un rire en le voyant descendre au sous sol 3.

- Elle t'intrigue à ce point?

- Non, pas vraiment, quoique un peu. J'avoue que je me demande à quoi ressemble la base de la femme parfaite. Mais j'en dois surtout une à Lud' depuis un bail, autant que je m'acquitte de ma dette maintenant, avant qu'il ne la tue sous un accès de colère.

Hélis repartit vers la fosse, tandis que Félix marcha jusqu'au bureau de Ludvig, qui avait apparemment déjà quitté les lieux. Il remarqua le dossier, qu'il lut rapidement avant de finalement le prendre avec lui pour retrouver 412, laissant quand même une note au passage pour le scientartiste : "Je te devais un service, je m'occupe du bilan et caryotype de 412. Je te devrai toujours une bouteille par contre!"

[Merci, les filles! x)
Ah, puis zut, pour Félix, j'avais mal compris! o/ ]

Hank Jefferson.
Le capitaine termina son sandwiche, puis nettoya sa table des graines derrière lui. Il n'était pas particulièrement un maniaque de la propreté, mais à l'école militaire on lui avait apprit à nettoyer derrière lui. Puis, il aimait bien lorsque tout ruisselait de propreté. Il ôta son chandail pour défaire les sangles de son gilet pare-balles qu'il déposa sur le dos du sofa. Il fit rouler les muscles de ses épaules en grognant légèrement bienséance. Après avoir porté des courroies toute la journée, les retirer faisait toujours du bien. Hank fit craquer son dos et s'auto-massa légèrement. Tout ce qui lui manquait pour être au paradis, maintenant, c'était une bonne douche tiède pour se relaxer.

Vlamidir.
Eh bien... Julia ne venait pas. C'était dommage. Pour un peu d'action, le daeva voulait bien qu'elle lui plante autant de seringues d'acides sulfuriques qu'elle le souhaitait dans la cuisse. Au vu de sa capacité de régénération rapide, se ne serait pas grand chose de toutes manières. L'immortel leva les bras vers le plafond et s'étira en baillant d'ennuie. Depuis des années, il vivait se gouffre d'ennuie mortel, mais maintenant qu'il connu une aussi grande agitation et excitation en une journée, le reste de sa vie ici lui paraissait bien fade en comparaison. Il se laissa tomber entièrement sur son lit, mêlant son corps à la couverture blanche hospitalière. Il ferma les yeux. Tout ce qu'il voyait derrière ses paupières closes étaient le noir... puis des instruments chirurgicaux. Même s'il le voulait, il était de moins en moins capable de réfléchir à quoi pouvait bien ressembler l'extérieur. Au moins, il était au courant de l'évolution de l'homme par le biais des évolutions techniques des labos.

pas de problème pensina, j'ai réussi à contourner le truc XD

Félix

Dossier sous le bras, Félix arriva vite dans le couloir où se trouvait la chambre numérotée où devait se trouver 412. Mais alors qu'il marchait tranquillement, un détail le turlupinait, ou plutôt deux en fait. Tout d'abord, des éclats de verres étaient éparpillés au sol, mais en s'approchant un peu plus, il sentit l'odeur d'alcool, et comprit bien vite que Ludvig avait pété un cable. Le deuxième problème, il n'y avait aucun garde militaire dans ce couloir, pourtant dans cette division, vu les cobayes qui  y étaient isolés, il y en avait au moins un dans chaque aile, mais ici, aucun. S'avançant doucement, il posa son dossier et ramassa un bout de verre  assez large pour qu'il puisse se défendre au cas où,  et constata que la porte de la cellule de 412 était entrouverte. L'ouvrant avec fracas, il découvrit avec horreur qu'un militaire était bien présent dans cette aile ci de la division 3, juste au dessus de 412, une main contre sa bouche et une autre baissant son pantalon alors que celle-ci se débattait comme elle pouvait. Mais elle semblait tellement faible que ces actes ne faisaient qu'attiser les pulsions de ce sauvage. D'un geste vif, Félix repoussa le  militaire qui s'enhardit, ne réalisant pas qui venait le déranger dans ce qu'il s’apprêtait à faire, se relevant et fonçant sur le biologiste qui le taillada violemment au niveau du cou, fort heureusement ce n'était pas mortel.

- Espèce de…

- Qu'est ce que vous vous apprêtiez à faire soldat? J'ignorai que cela faisait partie de vos attributions de violer les daevas!

- Strauss n'en veut pas! Et il a dit que si elle était en manque, elle avait qu'à faire appel à un soldat! Je me suis dévoué!

- Je vois ça, et elle avait l'air parfaitement consentante! C'est vraiment flagrant!

- Vous n'avez pas à interféré! Ce n'est pas votre cobaye! Et vous avez osé me blesser, j'en référerai à mon capitaine!

- Faites donc!

Le regard de Félix était plus froid que la glace, et le militaire sortit en rage. En se retournant, le biologiste retrouva Natalia en larme, tentant de remonter son pantalon dont l’élastique avait sauté et de maintenir sa chemise déchirée. Elle avait les marques de ce porc sur le cou et les bras, sans doute même des griffes sur les jambes, mais elle était en larme, détournant son regard, la peur au ventre. Félix n'étiat pas un tendre, après tout, il était scientifique de la zone 52, mais ce genre d'acte, non il ne le tolérait pas, c'était tout simplement l'acte le plus ignoble et le plus inhumain à ses yeux. Attrapant la couverture mitée qui devait surement lui servir pour dormir, il la balança sur la daeva.

- Il est parti, maintenant suis moi, t'inquiète, je vais pas t'agresser.

Oulà, va vraiment falloir que Anaka soit consentante si tu veux ça de la part de Félix, Goth ^^


Félix


Ca ne la rassurait pas, elle tremblait comme une feuille, mais finalement, Natalia se décida à lever ses fesses du fauteuil d’examen et laissa tomber son pantalon trop lâche, puis enleva sa chemise déchirée, cachant alors sa féminité comme elle le pouvait de ses bras.

- Penche-toi en avant.

Évidemment, ça n’avait rien arrangé à l’état de stress de la daeva, mais Félix lisait toujours son dossier sans vraiment s’en préoccuper. Quand il daigna enfin reposer sa paperasse, il se dirigea vers 412 qui lui obéit alors, fermant les yeux et serrant les poings comme si elle s’attendait au pire, ce qui fit étouffer un rire au biologiste. Elle le prenait donc vraiment pour un monstre pervers. Une fois derrière la daeva, il posa ses doigts à la naissance de sa nuque et les laissa glisser le long de sa colonne vertébrale jusqu’à la naissance de ses fesses où se trouvait un tatouage.

- Un lion fondu avec une orchidée en un motif tribal. Original. J’aime bien. Ca a une signification particulière ?

Redessinant le tatouage du bout des doigts, Félix sentait les tremblements de la daeva, mais lui-même était véritablement surpris pas la douceur de sa peau malgré la crasse et la poussière qui la recouvraient. Il l’autorisa alors à se relever, attendant la réponse de la jeune femme.

- Le lion pour la sagesse, la force et l’immortalité, l’orchidée pour … la beauté, le luxe et la perfection.

Félix se retourna vers la daeva, surpris, puis éclata de rire. Il ne savait pas si Gunberg était au courant de ce tatouage quand il l’avait choisi, mais si c’était le cas, il avait un sacré sens de l’humour. Après avoir calmé son fou rire, il posa ses doigts sur l’épaule de Natalia, caressant la cicatrice laissée par la balle qu’elle s’était prise quelques heures auparavant. Vu l’avancée de sa guérison, elle n’aurait surement plus rien dans la soirée. Attrapant une feuille, il commença à noter ses premières analyses tout en lui posant divers questions.

Nom : / (après tout, Félix nommait ses cobayes uniquement par leur numéro)
Numéro : 412
Age : 26 ans
Genre : féminin
Division : 3, Projet Utopia

Taille : 1m70
Poids : 48 kg
Mensurations : 90A
Peau : type caucasien, très pâle
Couleurs des yeux : Marrons
Couleurs des cheveux : Blonds phéniciens, pas de traces de colorations

Bilan de Santé : Pas de signes de maladie apparentes, souffre de mal nutrition, pas de scoliose, bonne constitution physique.

Signes particuliers : Grains de beauté sur la joue droite, sur le haut de la fesse gauche et sur la plante de pied droite, tatouage tribal dans le bas du dos. Oreille percée. Trace de piercing au nombril (retrait lors de son transfert à la zone 52)

Notes Supplémentaires : Capacité de régénération.

- Tiens, prends cette robe, tu peux te rhabiller. Alors, c’était pas si terrible.

t'inquiètes Sil'

Ludvig

Lui était effectivement vanné, mais ça n'était pas comme s'il n'avait pas prévu de dormir contre le Daeva. Mais cette idée d'aller dans sa piaule à lui fit rire légèrement le scientartiste, malgré le fait que son "cadeau" n'était sans doute pas si pourri que ça et qu'il allait devoir se taper le boulot quand même

- Va falloir te mettre quelque chose sur le dos le temps du voyage, et j'ai bien peur que tu sois déçu en arrivant.

Se retournant sur le lit pour faire face à Vald, Ludvig laissa ses doigts se balader à nouveau sur le corps du Daeva, redessinant ses muscles du poitrail et de sa jambe. Sa peau était du satin malgré et grâce à tout ce qu'il avait traversé, et pourtant elle était chaude comme la caresse du soleil un bon matin de printemps. Gunberg voulait une femme parfaite, ce vieux pervers qui l'avait encore en travers de la gorge, mais jamais cette femme, si quelqu'un en voulait bien, ne pourrait égaler Vlad avant une bonne cinquantaine d'années. Finissant par se lever en invitant le Daeva à faire de même, Ludvig se rinça bien l'oeil en attendant que Vlad se décide à enfiler quelque chose. Dire qu'il n'était qu'à lui, le rêve.


Anaka

Tant qu'elle savait trouver le juste milieu, Julia finirait bien par la trouver marrante et ça lui sauverait sans doute la vie. La porte s'ouvrit une nouvelle fois sur l'odeur de Julia justement, Anaka retenant sa respiration quand la scientifique s'avança dans la fosse, deux militaires parés à tirer sur le premier daeva qui bougeait. La sadique s'arrêta pile devant le trio, tendant la main à la reptilienne sans un regard pour Taryn

- Tes anticorps sont prêts. Autant que je te les injecte maintenant, ça risque de prendre du temps comme tu le sais sans doute déjà. Tu seras de retour pour la distribution ne t'inquiètes pas.

Tant les militaires que certains daevas étaient surpris de voir cette femme proposer à Anaka de lui prendre la main, mais Julia savait qu'elle ferait gaffe, et Anaka n'avait pas spécialement le courage d'essayer de lui faire mal volontairement. La reptilienne prit donc cette main tendue et se leva pour suivre Julia une fois encore dans les couloirs menant aux labos. Elle qui pensait en avoir enfin fini avec les manipulations génétiques, voilà qu'elle allait devoir en traverser une à nouveau.

[Julia peut toujours prendre Vlad si elle cherche un mâle! ahahah!  
Sinon, moi, j'ai failli ne pas pouvoir répondre aujourd'hui avec 4 pages recto-verso de conjugaisons espagnoles à faire... du coup, ne vous inquiétez pas si, dans les prochains jours, je passe des jours sans venir faire mon tour, je reviendrai! x) ]

Vlamidir.
Le daeva grogna légèrement. Même pour sortir, il n'avait pas spécialement envie de s'habiller. À quoi ça servait, de toute manière? C'était pas comme s'il était complexé de quelque chose...! Lud ne réfléchissait-il donc pas une seconde à la tension érotique qui régnerait dans sa piaule si Vlamidir l'y attendait, nu et sur le lit?

-Tu as peur que les autres me reluquent? Note que je les comprendrais... mais bon, si ça te dérange tant que ça, maugréa-t-il en étirant une de ses mains pour agripper son pantalon encore intacte sur le sol.
Relevant les jambes, il l'enfila en se trémoussant un peu. Le scientifique pourrait toujours courir pour qu'il mette son chandail, par contre. Quelle perte de temps puisqu'il finirait par le retirer, de toute manière, sans parler la chaleur qui régnait dans une petite pièce en présence d'un autre homme qui ne souhaitait que baiser.

-Déçu de quoi? demanda-t-il, sarcastique, le désordre est ce qu'il me faut, cela fait trop longtemps que je n'en ai pas vu. Si tu me dis que tu vis dans une piaule plus désaffectée qu'un bloc sanitaire, alors là, je serais vachement déçu.
Vlad avait envie de voir un endroit personnalisé, en bordel et bien à l'image du scientartiste. Qui sait, peut-être pourrait-il se choper une bouteille d'alcool en passant?

Se relevant en même temps que l'autre homme, il se laissa ouvertement admirer. Les regards appréciateurs sur son corps jetaient toujours un baume sur son ego déjà bien gonflé.